1. |
Welcome to the nebula
04:19
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No strongest.
No best.
No glory, into this place.
But thoughts.
Some words
And thousand hearts into one chest…
Welcome to the Nebula…
No hate.
No arrogant.
No shame into this place.
Just doubts.
Some dreamers
And thousand hearts, into one chest…
No strongest.
No best.
No glory.
Just thousand hearts, into one chest….
Welcome to the Nebula…
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2. |
Deep inside my guts
03:11
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I could make my World a better place,
But I love so much his scarves, his colors, his cracks.
And I know he’s not regular, and not very stable…
I could say that he’s more than perfect,
But he’s full of false starts, full of big faults.
And I really despair of making of it, something more stable…
But deep inside my guts, he’s mine!
Completely unstructured,
But always in my own image.
Created with Love, but built on my pain.
From the depths of my guts, he dies, he dries
As soon as someone tries to make it deflate!
My world is so excessive, emotive,
Sensitive to each little impulse.
And it’s a fucking job to make of it, something more special…
I don’t really have big real pretensions,
But I admit a little whim, if it has to have only one,
It’s to make my own world, a little bit special….
A world of black, but rose too, cause I’m a bit of a girl, after all.
A monster of sweetness, hidden behind a strange sadness!
Wild and hearty,
But made by my two used hands and my broken mind!
But all of this doesn’t really matter.
All of this doesn’t have any sense.
It’s already over….
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3. |
Electrochoc
04:50
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C’est pas que tu protestes,
Non pas que tu te dresses, juste là, droit et à l’allure fière,
Mais y’en a, parfois, qui exagèrent.
C’est pas que ça te stresse tout ça,
Non pas que ça t’agresse...
Mais y’a un temps pour servir la fourmilière,
Et un pour shooter dedans, le poing en l’air.
Tu te perdras toujours en chemin vers l’azure,
Et demain se lèvera, même sans toi, ça c’est sûr...
Prie que ta tête, même encastrée dans leur mur,
Tienne bien, car le prochain sera sûrement bien plus dur…
Lève-toi ! Gigote !!
Que ça bouleverse en toi le fond, la forme, de ton espèce,
Ton moi, ta manière de faire,
Et comment ça bout dans tes artères.
Lève-toi ! Virevolte !
Que ça te berce, chaque fois que leurs flèches transpercent.
Et que ton moi, ta manière de faire,
Te souffle en avant, le poing en l’air.
A toi de trouver ton chemin vers l’azure,
Car demain se lèvera, même sans toi, ça c’est sûr.
Et quand ta tête, fusionnera avec le mur,
Tiens-toi bien, car le prochain sera sûrement bien plus dur…
Il viendra de loin l’électrochoc.
Par cette impulse, ce rythme qui t’est propre.
Quelque chose qui, en toi, provoque des myriades de fièvres.
A toi de trouver…
Demain ne t’attendra pas même toi, c’est sûr.
A toi de trouver…
Car le prochain sera sûrement bien plus dur.
Que ta tête, même encastrée dans le mur, tienne bien…
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4. |
Honte sur toi II
02:26
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Ferme-toi au Monde, Hima…
Car tu sais bien que personne ne te connaît comme nous, Hima.
Personne qui t’aime de cette façon là…
Sonne le glas de toute compassion, de toute pitié,
Juste toi et cette envie de cracher…
Et puis ravale bien les larmes,
Et garde la plaie bien au chaud…
Ils n’en ont rien à foutre, de toute façon.
Qu’elle te ronge jusqu’à l’os la voix, l’aura et la chair…
Qu’elle prenne et noie ton cœur de colère.
Tu n’as besoin de personne,
Personne sauf nous qui t’aimons fort, Hima…
Tu es si belle quand tu n’aimes plus.
Tu es si belle quand tu perds le recul.
Laisse-nous nous occuper de tes mots pour qu’ils sonnent….
Laisse-nous nous occuper de tes maux pour qu’ils cognent, enfin…
Et puis ravale bien les larmes,
Et garde la haine bien au chaud, ils n’en ont rien à foutre…
De toute façon, elle te ronge jusqu’à l’os,
La voix, l’aura et la chair.
On se sent moins mal quand on noie son cœur de colère.
Ta voix, ta chair et ton cœur de colère…
Même s’il a mal, noie ton cœur de colère,
Même si ça fait mal !!!
Ferme-toi au Monde, Hima…
Personne ne te connait comme nous, Hima.
Personne qui t’aime de cette façon-là….
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5. |
Honte sur toi I
03:34
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Quand ils s’emparent de ma voix, ils me ferment au Monde.
Alors je crois tout ce qu’ils disent,
Et je mords les choses qu’ils méprisent.
Et j’ai peur chaque fois qu’on les effraie.
Mais je suis moi.
Je suis souvent si fière de mon nom…
Mais quand le fond de mon âme devient le meilleur de mes tourments,
Alors mon Monde devient pire que la peste,
Pas même un Autre que je regrette,
Un seul vide qui m’inquiète…
Car ils sont pires que des rats quand ils se prennent pour moi,
Me criant : « Honte sur toi, fille !! »
Ils sont pires que des rats quand ils se jettent sur moi,
Me criant : « Honte sur toi, fille !! »
Comme dans ce conte, cette mauvaise histoire,
Que ma mère aux abois me racontait certains soirs…
Ils rongent, ils savent que de moi, ils auront le LA,
S’ils me crient : « Honte sur toi, fille !! »
Mais le temps sclérose tout.
Il prend. Il noie. Et ramène tout sur la terre ferme.
Puis, je vois des choses mais par bouts.
Des bouts dénués de sens. De recul.
Puis je perds l’estime et je n’aime plus…
Mais je suis pas si pressée que cela cesse,
Je sais que toujours revient la tendresse…
Mais quand je crois tout ce qu’ils disent,
Alors je mords et je me méprise si fort,
Puis mon cœur, de leurs pleurs, déborde,
Et ma tête, pleine d’œdèmes ne passe plus les portes…
Quand ils s’emparent de ma voix….
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6. |
Ma Perle
04:53
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J’ai crié si loin,
Aussi loin que je me souvienne.
Et ça me lance, chaque fois que j’y pense.
J’ai crié trop fort, je crois,
Pour que tu te rappelles,
A jamais, de mes hanches…
Parfois, il y a trop de Monde.
Parfois, je hais la Terre entière.
Moi, je préfère quand le tonnerre gronde.
Je préfère…
Ca me rappelle ton côté sombre,
Nos émois, la pluie, le blanc de tes yeux.
Et quand, soudain, il pleut des trombes,
Je prends l’air…
Oui, je prends l’air,
Et je crève d’attendre que tu reviennes…
Je te ferai plus jamais de peine,
Je te promets, dès que tu rentres.
Te montrerai combien je t’aime.
Comme tu manques….
Car je n’ai plus besoin de rien
Une fois au creux de tes mains.
Je ne te demanderai plus rien
Que de rester au creux de mes reins…
Dans le creux de mes reins,
Tout un flot de merveilles,
Le plus bel arc-en-ciel…
Et toi, ma Perle,
Qui me fait voir des millions de ciels,
Au son de nos corps qui s’entremêlent…
Mais sans toi, je gèle.
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LNH (La Nébuleuse d'HIMA) IDF, France
Created in 2011, LNH has always focused on mixing different musical genres.
As each song is composed and produced
by different artists, the EP offers the group the possibility of embracing a common style, inspired by heavy metal music, but also hip-hop, pop, lyric-based songs… at the will of the group’s desires and collaborations.
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